- Les Douces Couilles de mes Nuits -
que vous vous demandiez "Pourquoi ce Titre Provo" ?
En premier, pour ceux qui sont pressés,
voici le livre "en Bref" :
"Les douces couilles de mes nuits" retrace avec une sincérité brute le parcours initiatique de Jonas Delatour,
un enfant dyslexique à l’esprit vagabond, en décalage constant avec les codes scolaires et sociaux;
De l’incompréhension de l’école maternelle aux humiliations du collège, en passant par les refuges affectifs que sont ses grands-parents, ses escapades en nature et la magie des vacances, Jonas tente de trouver une place dans un monde trop étroit pour lui;
C’est dans l’univers du compagnonnage (les Compagnons du Devoir*), après une adolescence secouée par les échecs et les coups de sang, qu’il découvre enfin un langage qui le comprend et qu'il comprend : celui des mains, du métier, du vrai...
Il devient artisan, puis entrepreneur;
Ce récit d’apprentissage est celui d’un enfant étiqueté comme "perturbateur" qui déjoue les pronostics par la rage de vivre et par la poésie de ses failles.
* Qui sont les Compagnons du Devoir ?
Fondé au Moyen Âge, ce mouvement forme les jeunes à travers un parcours aussi exigeant que fraternel : le Tour de France, qui fait voyager les apprentis de ville en ville; Chaque étape est une leçon de technique et de rigueur;
pour quelles Raisons lire ce Livre ?
parce que :
c'est un récit authentique sur la résilience, loin des clichés;
c'est une ode aux inadaptés brillants : ceux qui n’entrent dans aucune case;
c'est un témoignage utile pour parents, éducateurs, et rêveurs cabossés;
c'est une immersion sensorielle et émotionnelle dans le quotidien d’un enfant dyslexique;
il y a une fin lumineuse, qui montre que l’échec scolaire n’est pas une fatalité,
et surtout
parce qu’il brise le silence autour de la dyslexie, sans détour ni misérabilisme;
Parce qu’il rappelle que l’école peut broyer, mais que la vie, elle, au contraire peut réparer;
Parce qu’il montre qu’un enfant “hors cadre” peut devenir un homme debout, libre et créatif !!!
en troisième,
QUI est concerné par ce Livre ?
- enseignants, éducateurs, orthophonistes et parents
qui veulent comprendre ce qu’il y a derrière les "maux"; - Les jeunes qui se sentent “à côté”,
et aussi ceux qui l’ont été; - Les lecteurs avides de récits sincères,
percutants, atypiques et profondément humains;
À propos de l’auteur :
Jonas Delatour, ancien enfant “qui ne comprenait pas”;
Devenu artisan, puis entrepreneur, Jonas incarne la force de ceux qui tombent mais...
ne lâchent rien avant de se relever;
Il vit aujourd’hui entre chantiers, nature et mots;
Ce livre est sa revanche douce, et son cri du cœur !
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Relisons un "concentré", pour être certain:
Résumé :
Jonas Delatour raconte son parcours hors norme avec une sincérité brute et une poésie inattendue. Dyslexique, rêveur, souvent en décalage avec le monde, il traverse une scolarité chaotique, des humiliations, et des échecs;
Mais grâce à sa rage de vivre et à la découverte du compagnonnage, il trouve sa voie et devient entrepreneur;
Ce livre est une ode à la résilience, une célébration des failles qui nous construisent, et un cri d’espoir pour tous ceux qui se sentent “hors cadre”;
Points forts :
- Un récit authentique et touchant;
- Une plongée dans l’univers d’un enfant dyslexique;
- Une fin lumineuse qui inspire et redonne confiance;
Public concerné:
Parents, éducateurs, orthophonistes, jeunes en quête de sens, et tous ceux qui aiment les récits sincères et atypiques;
Auteur :
Jonas Delatour, artisan et entrepreneur. Son premier ouvrage, né de ses failles et de sa force;
ISBN : 979-10-977797-0-2
Prix : 12 € et ajouter 5 € de frais d'expédition par Colissimo (les prix sont TTC et uniquement pour la France Métropolitaine)
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Voici en extrait, les premières Lignes :
Chapitre 1 – La Fissure
Il y a des moments dans la vie où tout semble encore flou, mais où l’on sent confusément qu’un équilibre commence à vaciller.
Comme une petite pierre coincée dans la chaussure, presque rien au début, un frottement, un inconfort, puis une douleur sourde, constante.
C’est ainsi que le petit garçon a commencé à sentir que quelque chose n’allait pas rond, bien avant même de savoir le dire. Il n'avait que quatre ou cinq ans.
L'école maternelle. Les premiers cartables, les crayons à mordiller, les petites tables de bois trop dures, les bancs qui grincent et les chaises trop lourdes.
Des rires autour, des jeux de mains, des comptines en cascade. Et lui, là, au milieu, l’air de suivre, mais souvent déjà ailleurs.
Il observait, beaucoup. Écoutait, parfois.
Mais bien plus souvent, il partait dans sa tête.
Un détail l'accrochait — une lumière sur un rideau, une miette de craie sur le sol, une poussière suspendue dans un rai de soleil — et son esprit s’en allait.
Il suivait cette poussière comme une montgolfière, là où personne ne pensait à aller.
Et quand il revenait, tout avait changé. La maîtresse était déjà passée à la consigne suivante. Les autres avaient ouvert un cahier.
Et lui n’avait rien compris. Encore.
C’est sa mère, attentive, douce et observatrice, qui, la première, a senti cette dissonance.
Pas un handicap, non. Plutôt une faille, un écart, un glissement. Quelque chose de léger, mais qui s'ouvrait doucement sous ses pas.
Alors il y a eu l’orthophoniste.
Trente minutes de voiture le mercredi après-midi, pour aller voir une dame gentille, patiente, un peu trop calme.
Tandis que d'autres enfants partaient explorer les bois ou courir après les têtards dans les ruisseaux, lui, il allait apprendre à écouter les sons, à séparer les syllabes, à dérouler les mots comme des perles sur un fil.
Il n’y trouvait aucun plaisir.
Il aurait tant préféré enfiler de vrais colliers de mousse ou de cailloux au bord de l’eau.
Ce temps qu'on lui volait, c'était celui des aventures.
Fumer des lianes comme les Indiens, grimper aux arbres, observer les mésanges et écouter les chants d'oiseaux sans jamais se lasser.
L’école ne pouvait pas rivaliser...
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