Pourquoi ce Titre "Provo" ?
Le titre interroge, dérange, intrigue.
Il n’est pas là pour plaire... il est là pour dire !
Jonas en a posé les règles dans une charte.
Lire la charte d’indécence bienveillante
et maintenant, voici les
9 Raisons pour Oser l’Assumer
(et y trouver plus qu’un Sourire Gêné)
- Le glissement sémantique, entre lapsus et audace :
Entre Les Douze Coups de Minuit et Les douces couilles de mes nuits, il n’y a qu’un battement de syllabe. Pour un esprit un peu dyslexique, ou juste poétiquement distrait, le quiproquo est naturel.
Jonas l’a accepté comme on adopte un surnom gênant mais juste : en le transformant en étendard.- Une sensualité qui refuse le clinquant :
Les nuits évoquées ici ne sont ni torrides ni creuses.
Ce sont des heures feutrées, où la tendresse ne crie pas.
Jonas célèbre la présence charnelle comme un berceau de vulnérabilité, loin de toute vulgarité.- La nuit comme lieu de réflexion et de résonance :
Les nuits que Jonas évoque ne sont ni agitées ni tapageuses.
Ce sont des heures suspendues, où les pensées prennent leur temps, où l’imaginaire s’étire sans contrainte.
Le titre traduit cette lenteur feutrée, cet espace de respiration, où les mots se déposent comme des chuchotements.- La provocation comme filtre bienveillant :
Le titre fait reculer certains, et en attire d’autres.
Jonas ne veut pas vendre à tout le monde :
il veut parler à ceux qui acceptent que l’art soit parfois frontal, risqué, et plein de doubles sens.- Une tonalité apaisée en rupture avec le vacarme, la poésie des mots qui dérangent :
Face aux clichés de bruit, de posture ou de spectacle, Jonas propose un univers fait de nuances et de retenue.
Ce choix traduit une volonté de calme, une attention portée à l’écoute et à la subtilité.
C’est une façon de dire : ici, on prend le temps, on laisse la place au silence.
Certains mots jugés crus ou impolis ont une charge sensorielle irremplaçable.
Jonas les "convoque" pour troubler et charmer, comme on met du poivre dans une crème.
Ça pique, mais c’est ce qui fait la recette !- La vérité comme outil de narration :
Ce projet n’a rien d’un emballage "marketté".
Le titre dit ce que Jonas vit, ressent, rêve et craint.
Il n’est pas là pour enjoliver mais pour nommer ce qui lui appartient.- Une œuvre plurielle à facettes :
Entre manifeste nocturne, poème incarné, et objet à partager, ce projet refuse les étiquettes.
Le titre devient la première porte à ouvrir dans ce labyrinthe de couches sensibles.- La dissonance comme signature d’auteur :
“Ça met mal à l’aise” , mais c’est peut-être la meilleure chose qu’un titre puisse faire.
On ne s’installe pas dans la zone de confort. Jonas invite à entrer dans l’inconfort fertile.- Une charte d’indécence bienveillante comme colonne vertébrale
Ce titre est le sommet visible d’un socle invisible :
celui d’un code d’éthique artistique, qu’on appelle ici indécence bienveillante, où rien n’est caché,
mais tout est offert avec délicatesse.
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